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Modélisation

Modélisation en hydrodynamique

  • Conception, réalisation de modèle hydrogéologique maillé, en régime permanent et transitoire,
  • Modélisation quantitative de la ressource en contexte nappe/rivière,
  • Simulation de scénarii d’exploitation de la ressource souterraine,
  • Modélisation des transports de masse : migration d’un biseau salé ou d’une pollution,
  • Modélisation des impacts thermiques et hydrogéologiques d’un doublet géothermique.
Quelques vidéos
  • Cette vidéo permet de découvrir un modèle récemment réalisé par ERE avec FEFLOW. Il s’agit d’un modèle 4 couches avec 2 couches aquifères (2 et 4), un semi-perméable (couche 1 superficielle) et un imperméable (3). La construction de la géométrie de ce modèle a utilisé le MNT 75 m disponible sur le site de l’IGN, les cartes du toit et de la base de chaque aquifère réalisées à partir de l’analyse des informations géologiques de la Banque de données du Sous-Sol. Le modèle fait plus de 6 km de coté et comporte 7124 nœuds. Il fonctionne en transitoire sur 12 ans, à pas de temps mensuel et à unité de temps journalier, avec la période 2010-2015 servant de référence.
  • Un doublet géothermique dans l’aquifère de la couche 2 a été testé avec le modèle. Les 2 ouvrages sont éloignés d’environ 200 m et prélèvent ou réinjectent 20 m3/h pendant 6 mois. L’autre moitié de l’année, le doublet ne fonctionne pas. La vidéo montre l’impact de l’injection et du pompage sur la piézométrie locale de la nappe sur 6 années.
  • Plusieurs scénarios thermiques ont été testés avec ce modèle. Dans le premier scénario le doublet géothermique a été implanté dans l’aquifère le plus profond (couche 4) avec une température de l’eau pompée (et utilisée par la Pompe A Chaleur) de l’ordre de 14°C et une température de réinjection se 8°C, le double fonctionnant pendant 6 mois à 30m3/h. La vidéo montre le déplacement vers le Nord (sens d’écoulement des eaux souterraines) du front froid, les périodes de 6 mois de non-fonctionnement du doublet se marquant par une augmentation de la température au point d’injection. Le second scénario a consisté à simuler un doublet dans l’aquifère le moins profond (couche 2), avec une température de pompage de 13°C et une température d’injection de 7°C. La vidéo montre l’évolution du front froid selon une coupe verticale passant par les 2 ouvrages.
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